Si Barthélemy a toujours eu des attraits pour la photographie, c’est principalement à New York qu’il découvre une vraie énergie à s’exercer pour atteindre un niveau professionnel. New York est la ville des photographes. On y croise chaque jour des photographes d’architectures, comme des photographes de modes, des portraitistes, des modèles, des artistes… Dans le subway, dans les avenues, sur les quais au bord de l’eau, vous croiserez certainement ces photographes.
Dès son arrivée à New York, en septembre 2016, Barthélemy transforme son comte Instagram en compte professionnel. Fidèle aux origines de l’application, il se fixe une contrainte: toutes les photos publiées seront au format 1:1 (carré, dit format Instagram).
New York est une ville terrain de jeux pour un photographe. Tout y est photogénique. Aussi bien la verticalité des paysages que les atmosphères des streets. Chaque jour est une chasse à la belle image.
Le photographe est libre, les new-yorkais sont habitués à ce monde de l’image et on ne vous reprochera pas d’installer un trépied dans la ville (sauf dans les zones trop touristiques évidemment).
De là, Barthélemy a organisé sa première exposition photographique présentée sur trois jours lors de son retour à Paris, en décembre 2017. Intitulée « New York, Concrete Jungle Where Dreams are Made Of » (en référence à la chanson nouvelle hymne de New York « Empire State Of Mind » ), l’exposition proposa une sélection de photographies (sur posters et sur toiles) exposées sur deux salles.
La vidéo ci-dessous a été faite en bilan de cette exposition. L’exposition proposait un mélange entre musiques new-yorkaises, vidéos de la ville projetées sur les murs, toiles, posters géants, petites photographies, et tout cela accompagné d’une maquette artistique de Manhattan… L’objectif était de plonger le visiteur dans le « New York Mood » , ambiance dans laquelle le photographe a baigné pendant une année.